Les tagueurs des bois
Il fallait s'extirper des draps au chant du coq, pour participer à la reconnaissance du circuit des 45 kms de la Déchaînés IV.
Difficile pour les couches-tard qui affichaient des mines défaites et un peu plus facile pour ceux qui se glissent sous la couette à des heures plus raisonnables. Dix Déchaînés ont pu, en fait, s'arracher aux bras de Morphée et courageusement se traîner jusqu'au coopé-club, pour accomplir une tâche indispensable à l'organisation de notre rando de juillet: La reconnaissance de circuit.
Conciliabule entre Clément et Jean Baptiste sur leurs prestations cyclo-sportives du week-end précédent à Gours.
El presidente fait flèche de tout bois pour faire une flèche vers le bois.
Le soleil matinal étire nos ombres à l'horizontal.
Chut, pas de bruit, ne dérangeons pas Jany qui médite appuyé sur son vélo au second plan !
Nos vieilles carcasses souffrent de courber l'échine de bon matin.
Deux points à la ligne.....téléphonique.
Ici, pas de débroussaillage à prévoir.
Inspection d'un pont: R.A.S.
Quelle fougue ce Jany !!!
Les eaux lugubres d'une mare forestière.
Courte pause auprés de la palombière du Bois des Cailles.
Se défausser devant un fossé, nous, les déchaînés. Pffff, on rigole devant cette rigole!!!
Le gai Thierry piégé par le gué du ruisseau.
JB, sur son séant posé, au bord du ruisselet, contemple esseulé, les flots prisonniers, de l'étroite vallée.
Une crampe en deux-roues, pour Pichou, c'est le coup de Bambou.
Explication: la brume n'est pas subitement tombée sur notre trajet. Mais c'est JB par l'idée alléché, d'arroser le photographe stupéfait, en passant dans une flaque pour l'éclabousser que son appareil fut humidifié et les lentilles de l'objectif se retrouvèrent embuées.
Le groupe sur le tertre vu par l'objectif embué.
Ce joyeux mariole a, décidemment, la langue bien pendue !!!
Voilà, les préparatifs ont débutés, mais il y a encore beaucoup de pain sur la planche, alors tous ensemble, tous ensemble pour aboutir à la réussite de la Déchaînée IV en juillet.